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Famine en Afrique – un an après la collecte

11.04.2018

Vous avez été des milliers à nous soutenir lors de notre journée de solidarité. Un an plus tard, un peu plus de 19 millions de francs ont été récoltés et ont permis de soutenir 861’504 personnes dans la détresse.

Le 11 avril 2017, un appel à la solidarité nationale était lancé pour venir en aide aux victimes de la famine en Afrique dans les trois principaux pays affectés (Somalie, Soudan du Sud et Nigéria). Vous avez été des milliers à nous soutenir lors de notre journée de collecte. Un an plus tard, un peu plus de 19 millions de francs ont été récoltés et ont permis de soutenir 861’504 personnes dans la détresse.

Comment ?

Nous avons financé des projets qui ont permis de distribuer de la nourriture et de donner un accès à l’eau potable à la population, par la construction, par exemple, de pompes à eau et de puits. Certains de nos partenaires ont fourni des bons d’achats et des allocations en espèce pour l’achat de nourriture sur les marchés locaux. Nous avons également soutenu nos partenaires sur le terrain qui prodiguent des soins aux personnes malades et blessées.

Afin de nous assurer de la qualité de l’aide apportée, nous nous sommes rendus sur le terrain pour faire état de la situation, comme par exemple, en Ouganda, où se sont réfugiés des milliers de personnes fuyant guerre et sécheresse au Soudan du Sud.

Ce que votre aide a permis de réaliser

Grâce aux dons que vous avez effectué lors de lacollecte famine en Afrique, nous avons pu financer au total 21 projets de douze de nos organisations partenaires présentes sur le terrain. Elles se sont mobilisées pour répondre aux besoins des personnes touchées dans les trois principaux pays affectés, ainsi que dans des camps de réfugiés des pays voisins que sont l’Ouganda et le Niger.

collecte famine en Afrique

En 2017, la plus grande sécheresse de ces dernières années, intensifiée par de graves conflits faisait de nombreuses victimes en Somalie, au Sud Soudan et au Nigéria. Des centaines de femmes, d’hommes et d’enfants souffraient de la faim, de la soif et survivaient dans des conditions sanitaires extrêmement précaires. Pour fuir les zones des conflits, les personnes touchées trouvaient refuge dans des camps précaires au Niger et en Ouganda où les besoins étaient également très conséquents.